Les enfants sont des personnes distinctes

Dans le livre « Frères et sœurs sans rivalité » d’Adel Faber et Elaine Mazlish, le chapitre III traite de la comparaison, une pratique à éviter à tout prix selon les auteures.

Elles expliquent que l’envie de comparer les frères et sœurs entre eux, que ce soit pour souligner un fait positif ou même négatif est néfaste pour la construction identitaire de l’enfant et pour ses relations dans la fratrie.

Selon elles, lorsque l’on s’apprête à comparer, il vaut mieux décrire. Décrire ce que l’on voit, ce que l’on aime. Ou décrire ce qui nous dérange et ce qui aurait besoin d’être fait. Le plus important c’est de s’en tenir à la situation liée au comportement de l’enfant en notre présence« . (p. 75-76).

Des Bandes Dessinés proposent de décrire comme alternative aux comparaisons favorables et défavorables.

Le quatrième chapitre s’intitule « Donner pareil, c’est donner moins ». Le but est de comprendre la différence qui peut exister entre donner de façon égale en quantités égales et donner en traitant les individus comme des êtres uniques et selon les besoins.

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